La pratique homéopathique chez L’ÂMC

Qu’est-ce que la pratique homéopathique chez l’ÂMC ?

L’ homéopathie est une méthode qui a été initié plus particulièrement par Hahnemann et Korsakov, selon différentes études découlant de l’observation de transmission du savoir concernant les souches d’interaction de l’homme et son environnement. De grand savant tel que Paracelse et Hypocrate sont à l’origine de ce mouvement de pensée.

L’homme a pu constater que la naissance, la croissance, la maturation, la dégradation et la mort de son corps, était comparable au processus d’évolution observé autour de lui, notamment sur les végétaux, mais également sur les animaux, les minéraux et maintenant dans l’univers microscopique et gigantique.

De cette observation il en a crée des conclusions et d’innombrables sciences destinées à servir son bien-être. L’homéopathie fait partie de ces sciences.

L’ homéopathie vient du grec homoios qui veux dire « similaire », et pathos qui est le mot pour désigner « la souffrance », « la maladie ». Son principe est basé sur la similitude. Le principe de fabrication des médicaments homéopathiques est de diluer des substances qui, si elles étaient concentrées, provoqueraient des symptômes similaires à ceux du patient. Mais en raison des dilutions extrêmes utilisées, les remèdes homéopathiques sont dépourvus de principes actifs « Lorsque un patient montre des symptômes de stress par exemple, ses symptômes peuvent se présenter de différentes manières (main moite, coeur qui palpite, poils qui se hérissent…) certains symptômes seront plus important que d’autres, et sur le panel des symptômes rencontrés, la toxicité de certaines plantes, si vous les administrez à votre corps, vous feront passer dans les mêmes stades de stress. » La dilution et la dynamisation du produit administré à votre corps agira de la même manière qu’un vaccin.

 

Trois grands principes tournent autour de l’homéopathie :

  1. La dilution,
  2. La dynamisation,
  3. La dilution/dynamisation

 

 

  1. La dilution :

Lorsque nous prenons une souche d’un remède, celui-ci contiendra un certain nombre de propriété que l’on nomme principe actif. Ce principe actif peut être très toxique selon sa concentration. Si la souche est administrée purement alors cela relève de la phytothérapie, de l’alimentation et d’autre procédé qui ne sont pas homéopathique. Tout ne peut pas être administré de cette manière, nous sommes contraint de diminuer la teneur en principe actif du produit afin que le corps puissent travailler avec sans danger. Ceci se nomme la dilution. La dilution est aussi un choix réalisé par l’homéopathe pour soutiré et isoler à la souche du remède un ou plusieurs principes actifs avec un diluant approprié (l’alcool, l’eau, l’huile…) « pour une teinture mère de cannabidiol, l’homéopathe procédera à une dilution de la plante dans de l’alcool alors que pour du silicium, la dilution sera réalisé avec de l’eau. »

Si la dilution est basse, cela revient à travailler avec des symptômes locaux, des symptômes qui se prononce dans le physique. Plus nous diluons la souche, moins il y aura de principe actif dans votre formule homéopathique.

Arnica en 7 CH va stimuler votre corps à soigner les courbatures par exemple. Belladonna en 30 CH va soigné votre nervosité par contre…

2. La dynamisation:

Une part toute aussi importante dans le procédé pharmaceutique de l’homéopathie est le principe de dynamisation. Tout frottement, friction entre deux principes amène à une modification de l’état original des deux principes. Etant donné que nous avons une souche et un diluant lorsque nous frictionnons les deux principes, il y a une modification qui s’opère. Dans ce procédé, le diluant (le plus grand diluant du monde est jusqu’à présent l’eau) garde en mémoire les informations énergétique de la souche du remède. L’eau va non seulement réduire la toxicité du produit, mais avec le principe de dynamisation, elle va modifier sa structure pour garder en mémoire l’intégralité du processus de fabrication de la toxine. Pour comprendre mieux ce procédé, le docteur Luc Montagnier, prix Nobel pour avoir découvert la souche du SIDA, vous livre sa fabuleuse expérience et découverte de la mémoire de l’eau dans ce reportage : https://youtu.be/gDUnHNcxyro

3. La dilution/dynamisation :

Une fois la souche diluée et le principe de dynamisation réalisé 10 Fois, le produit de cette manipulation donnera 1Dh, une décimale hahnemanienne, c’est une échelle qui permet de connaître le procédé et la teneur énergétique du remède.

Ensuite, il faut prendre une goutte de ce remède, et le diluer dans 100 Ml de diluant, le frictionner 100 fois, pour obtenir 1CH, une centésimale hahnemanienne et ainsi de suite…

Cette troisième partie est très importante car l’eau va garder en mémoire une formule, et cette formule va être dynamisé des fois jusqu’à 20 millions de fois. Ce qui nous donne un remède hautement vibratoire, ne contenant plus aucune trace de souche toxique, mais une information énergétique très puissante ; Dans ce cas, le remède dilué en LM20 (20 millions de fois) travaillera dans un stade très au dessus de nos croyances limitantes, le travail s’effectuera au delà de notre ADN, il aura une action direct sur les pensées et l’âme qui nous constitue. C’est pourquoi, il est interdit en France et dans certain pays de commercialiser ce qui pourrait paraître, être simplement de l’eau ordinaire et que les pharmacien ce garde de divulguer.

C’est pourquoi il faut une formation très spécifique sur l’âme, l’essence du remède homéopathique, avec une parfaite connaissance des symptômes, syndrome et symbole constituant un Homme, une parfaite connaissance des symptômes, syndromes et symboles que pourrait provoquer une souche administrée à l’humain et que ce genre de médecine n’a été expérimenté que par une poignée d’anthroposophe.

Bien utilisé, elle opère des miracles, soin du cancer du col de l’utérus avec ferrum métalicum en dilution appropriée, soins d’un cas d’autisme avec carcinosinum, soin d’une grave infection à l’oreille pouvant amener à une surdité avec causticum, soin de dépression aggravé avec Natrum muriaticum ou encore d’acouphène menant à des états suicidaire avec Arsenicum album…tout ces quelques exemples sont ceux qui proviennent de mon expertise lors de consultation des souffrants.

Homéopathie, Globuli, Naturopathes

Trois procédés sont mis en avant concernant l’ homéopathie ; il y a :

  1. les procédés complexistes, 
  2. Les procédés pluralistes, 
  3. les procédés unicistes.

En France le procédé largement utilisé va dans le même sens que la médecine conventionnelle, c’est à dire que pour chaque symptôme qui défini un mal être (et je précise bien qui défini l’effet du mal être et non la cause) par exemple une bronchite, (cela veux simplement dire une inflammation des bronches, c’est un diagnostique incomplet qui ne donne pas la cause de cette inflammation), le médecin va prescrire des médicaments en conséquence de l’effet qui est défini par vous même. Le médecin homéopathe fera de même, il vous préconisera plusieurs remèdes homéopathiques en relation avec votre mal être. Ce qui veux dire que l’information (inflammation des bronches) sera éradiquer, mais la cause non. C’est une grande erreur car on perd à ce moment là, l’information que le corps émettait due à l’attaque, la friction d’un autre corps (bactérie, virus ou autre…). Pourquoi alors procède t-il de cette manière ? Parce que en un quart d’heure de consultation il est tout simplement impossible d’approfondir et connaitre la personne que nous avons en face. Aussi parce que dans notre société moderne, tout doit allez vite, autant dans la guérison, donc on catégorise, à tort, et on place, concentre, met dans une case un tas de symptôme qui, en réalité, sont propre et individuel à chacun.

Le procédé complexiste et les préparations magistrales, sont intéressants lorsque nous avons une série de symptômes qui se prononce et que l’homéopathe débute, ou ne sait lequel choisir, certain principe sont très intéressant et touche une large gamme de mal être. ils sont cependant préconisé pour des petits trouble physique et/ou émotionnelle mais pas pour traiter des troubles d’origine psychologique. Il s’agit de mélanger une série de remède homéopathique ayant la même action ciblée.

Pour l’ homéopathie uniciste, seule une poignée de personne s’y est penché, dont le célèbre docteur Didier Grandgeorge, résidant dans le sud de la France. Ce procédé est largement utilisé dans notre association car efficace. Il consiste à prendre l’ensemble des symptômes, syndrome et symbole du souffrant, d’en faire une synthèse et de sélectionner d’après certain critère, caractéristique et intensification, 3 remèdes maximum. Ces remèdes sont généralement en symbiose et en harmonie avec ce qui constitue votre challenge.

Nous prenons notre temps à faire une anamnèse complète sur les états de votre santé mental, émotionnelle et physique, ensuite nous analysons scrupuleusement la similitude entre vos symptômes et ce qui pourrait provoquer un remède. Selon de nombreux critères nous vous proposons au maximum trois remèdes homéopathiques, dont certain sont à commander hors union Française. Suite à cela, nous procédons à un suivi hebdomadaire sur l’évolution de vos symptômes puis nous modifions la posologie si nécessaire jusqu’à arrêt total du traitement.

Je me trouve néanmoins obliger de marquer dans un tel article que nos méthodes de soin ne se substitue en aucun cas à l’avis d’un médecin conventionel ni même au traitement médicamenteux préconisé par ces mêmes gens.

Pour plus de renseignement, ce sera avec plaisir d’y répondre en téléphonant au 07/77/30/37/84 ou sur michael.conti@sfr.fr

Psychologue, thérapeute, soins, bien- être, locale, Moselle, thérapeute, Théraéille, Luxembourg.

 

A propos m.conti

Conti Michael, je vie sur Saint avold, se déplace en Moselle, Lorraine, France et pays francphones.

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