Les origines du corps physique et son avenir d’un point de vue esoterico-physique.
La base est de savoir que nous sommes constitués de 3 corps plus 1 que vous retrouverez sur les différents articles rédigés par mes soins.
Ici nous allons traiter plus particulièrement du corps physique. Nous avons tendance à trop parler des corps subtils au détriment du corps tangible, celui constitué d’éléments physiques. Donc voici un petit résumé sur la provenance de notre corps physique.
Il est facile de comprendre que notre corps physique est constitué uniquement de ce que nous lui apportons comme aliment physique. Tout d’abord l’eau, notre corps est constitué de plus de 66% d’eau, et de liquide. Le reste, ce sont des fibres pour la plupart carbonées.
Les carbonates sont des minéraux que l’on trouve en abondance sur la lithosphère. Les mollusques fabriquent, par exemple avec leur simple force primitif, une coquille de carbonate de calcium constituant ainsi leur propre exosquelette tout comme les crabes et autres crustacés. La roche calcaire est la principale source de carbonate et cette source est particulièrement assimilable par les organismes vivants sur Terre lorsqu’elle est en sédimentation (eau, aliments). A son tour, l’organisme vivant sur terre, restitue une part de ce trésor sous forme de dioxyde de carbone au cour de sa vie, mais également tout au long de la transformation de son métabolisme (cellule morte) et de sa décomposition (mort de l’être vivant). A ce moment, le dioxyde de carbone, s’allie à un autre élément qui devient insoluble dans des conditions lithosphériques normales formant ainsi la chaîne d’alimentation du vivant et les différents carbonates. (carbonate de sodium, de magnésium, de calcium, de fer… ) Des dissociations ultérieures peuvent cependant intervenir à la faveur desquelles le carbone mis en réserve est restitué à la biosphère et à l’atmosphère (prenez deux minutes à comprendre cette phrase 😛 ). Ainsi les carbonates se trouvent à la croisée des cycles biochimique et géochimique du carbone, localisés essentiellement dans la zone superficielle de la lithosphère. La présence des carbonates dans les roches d’origine interne est, en effet, exceptionnelle et elle pose l’un des questionnement de la pétrologie, celui de l’origine « primaire » du carbone en profondeur.
L’eau contenue dans notre corps permet entre autre de puiser l’énergie de ces carbonates mais elle permet aussi la circulation électromagnétique, l’information entre les différents oligo-éléments, l’évacuation des excès ou des éléments non assimilables ou toxiques pour son équilibre, et d’une manière générale, le mouvement, l’absorption, la dissolution de tout les éléments contenus par l’être vivant. Avec une telle description, on peut retrouver une totale similitude entre les principes des liquides, solides, gazeux présents sur Terre et ceux présents en l’Homme. En ce sens, il est naturellement compréhensible que la Terre soit un être vivant.
La symbiose de tous ces principes est maintenue par la chaleur générée par notre corps, et par nos étoiles, la plus proche étant le Soleil. Mais, malgré la réunion de solide tel que le carbone, de liquide tel que l’eau, de gazeux tel que l’air et d’énergie tel que la chaleur générée par la combustion, l’homme n’arrive pas a créer un autre Homme de ses propres mains. Pourquoi ?
Les alchimistes sont allez jusqu’à définir une liste définie des aliments nécessaires pour fabriquer un humain, mais n’y sont jamais arrivés, ils ont appeler l’élément manquant : la pierre philosophale : Eau 35L, carbone 20KG, ammoniaque 4L, hydroxyde de calcium 1,5KG, phosphore 800G, chlorure de sodium 250G, nitrate de potassium 100G, souffre 80G, fluor 7,5G, fer 5G, silicium 5G, et un peu des 15 autres matières chimiques…
Voilà en gros ce qui compose un corps adulte mais à ce jour personne n’a réussi à synthétiser un humain…
La pierre Philosophale ne se trouve pas pour deux raisons. La première, c’est la définition même du mot Humain. La deuxième, c’est la définition même de pierre philosophale.
Humain et Homme, vient du mot « humus » en latin signifiant la « Terre ». Pour dissocier les autres états de vie, on a donné le nom de Dieux « dei » (signifiant briller/ciel) ou Démon de « daemi » (Esprit). Mais l’anthroposophie est allée un peu plus loin dans ces explications présentes. En effet, L’Homme que nous sommes n’est pas seulement constitué de L’humus à des quantités précises, auquel cas il pourrait s’animer. Non, il est aussi composé d’autres éléments que l’humus, appelés Dei et Daemi. Ces deux éléments ne se trouvent pas sur la Terre, mais sont indissociable de celle ci. En effet, la particule lumineuse (irradiante) est produite à partir d’une combustion d’un élément et transporter à travers l’air ou le vide suivant votre point de vue. Donc Dei et Daemi sont indissociable de Humus. Nous retrouvons cette définition dans le signe de croix des chrétiens, le père (Dei en haut), le fils Humus (en bas) et le saint esprit (Daevi) entre les deux. Autrement dit l’Homme ne peut se dissocier du principe Dieu et Démon, il est les trois à la fois. Ces trois corps (solide, liquide et lumineux) sont gérés par la seule chose encore imperceptible et que l’on nomme la pensée. La pensée est partout, elle voyage plus vite que la lumière, elle est à l’origine de tout dans le tout, la pensée, qu’elle soit collective ou individuelle, permet la rencontre, l’irradiation, la friction et l’agglomération des éléments solides et liquides, le tout dans un environnement gazeux (sans air, sans vide, les éléments liquides et solides ne pourraient pas se rencontrer) le Moi-Je nommé aussi le corps égotique est un élément qui permet de donner vie (théorie du VRAI) et cette particule de vie se situe sur un plan totalement différent, totalement imperceptible. Certes, nous répondons à notre nom et sommes seuls à savoir si nous devons apporter un aliment pour abreuver notre corps par exemple, mais ce petit Moi n’est pas le même que le Grand Moi qui plane dans une dimension ne faisant partie ni d’élément gazeux, ni solide, ni liquide ni lumineux. Cet élément du Grand moi, l’égotisme suprême, est un corps qui dirige absolument tout.
L’oeuvre de la vie, est donc dirigé par un grand Moi, un grand corps que nous essayons de comprendre avec des outils physiques ou ésotériques non appropriés.
Mais revenons au corps purement physique. Si nous appelons Homme, nous admettons que le principe humain est uniquement constitué de Terre. Or, à travers les âges, ce que nous symbolisons comme Homme, a pris différents noms, on a les noms historiques que nous pouvons utilisés, comme Homo sapien, Homo erectus etc, mais ces noms ont toujours pour base le symbole Humus, les anthroposophes ont donné d’autres noms, tel que Hyperboréen, Lémurien, Atlantéen, Arien, Jupitérien etc…Ces symboles sont beaucoup plus neutre, et nous pouvons les utiliser car ils ne rapportent pas à la Terre, mais à l’explication plus précise de ce qu’est un Homme. Et du coup, sa composition physique, émotionnelle, mentale et spirituelle.
Comme dans cet article il est question de la composition physique, sachez que tout comme le mollusque, nous étions, avant d’avoir ce fabuleux corps, de simple agglomérat de carbonate avec un corps mou et visqueux à l’intérieur. Tel un escargot ou une huître, cette façon était la meilleure pour survivre aux aléas de la nature et du climat de l’univers. La pensée étant déjà présente à cette époque, elle n’était pas suffisamment robuste et mûre pour donner ce que nous sommes maintenant. Aujourd’hui, le stade nommé Jupiterien ou encore Arien pour la plupart des terriens, veut simplement dire que le stade de la pensée devient très grand, et mûre, car il a réussi à intériorisé le solide (hormis nos chicots, toutes les parties solides sont à l’intérieur), il a réussi à intériorisé les émotion et la connaissance (avant l’homme pensait que la reproduction venait de la Terre et du ciel, aujourd’hui il sait procréer) et il a réussi à harmoniser (pour la plupart) les émotions, avec la connaissance et l’action) il lui reste plus qu’à atteindre la pensée, pour pouvoir ainsi intérioriser la création. Je ne dis pas que nous serons hermaphrodite, mais que l’homme aura atteint d’ici quelques années le stade totale de la création par la pensée.
Ce Jupiterien succédera bien évidemment à d’autres stades que nous ne traiterons pas ici. Ceci était seulement pour expliquer que notre état physique n’est que le colmatage d’éléments physiques, lesquels sont dissous d’abord dans un liquide puis dans un gaz pour se retrouver dans un état gazeux liquide et solide tel un cycle qui se recycle. Alors, pleurer par exemple la mort d’une personne est inutile car c’est simplement la fin d’un cycle (solide, physique) qui va se dissoudre (décomposition, émotion) puis s’évaporer (pensée) pour revenir inévitablement à son point de départ. Nous pleurons uniquement l’ignorance du fonctionnement de ce cycle. Si nous avions idée de l’oeuvre qui permet la parfaite symbiose des éléments et de l’acquisition d’une particule divine du Moi-Je à ce moment-là, nous conscientiserons le processus de recyclage, et la souffrance d’un être perdu physiquement serait tourné au ridicule.
L’origine du corps physique est donc partout, dans l’eau, dans l’air et sur la Terre, ce n’est que L’ego qui permet d’animer le corps physique en équilibrant les trois principes gazeux, liquide et solide.
Maintenant, qu’adviendra t’il de notre corps dans quelques siècles. Rappelez-vous, le grand corps égotique qui fait l’expérience de la Terre à travers une ossature que l’on nomme humus. Notre pensée est infinie et immortelle, par contre, ce corps fait de particule terrestre, s’oxyde et vieillit. L’âge que peut atteindre une particule égotique avec un corps physique est d’en moyenne 85 ans. C’est-à-dire, 85 cycles terrestres. Aujourd’hui, nous sommes à l’aube d’une révolution que l’on nomme l’intelligence artificielle. Ce processus n’est en fait que l’évolution de ce que l’on nomme Homme. La particule Egotique va lentement s’installer dans le corps d’un « robot » et devenir le nouvel humain. Pourquoi ?
La conception du robot a une durée d’existence 10 fois supérieure à celui de la conception de l’humain. Au même titre qu’il y a des milliers d’années, la particule humaine se trouvait à l’état de mollusque, quitta le corps pour engendrer une expérience différente, plus longue, plus complexe, et plus grande, de même que la particule humaine (moi-je) a migré ensuite dans un corps, végétal, animal, humain, elle migrera dans un corps « artificiel » pour explorer bien plus que ce qu’elle peut aujourd’hui avec un corps composé de terre et d’eau. Ainsi, il pourra se reproduire sans avoir besoin d’attendre 9 mois, et sans avoir besoin de sexe opposé. La pensée humaine pourra également voyager dans différentes planètes et expérimenter bien plus loin avec ce nouveau corps.
Le processus de transition sera réaliser progressivement, de la même façon, qu’un enfant des années 2000 n’aura jamais connu la terre du moyen-âge comme il se la représente aujourd’hui.
Rappelez vous que rien que le symbole du mot Homme, pour désigner ce que nous sommes est une philosophie purement subjective, le « je » représente pour la plupart des êtres humain, un corps fait de chair et d’os, et d’une particule qu’il désigne par énergie, divine, électrique etc…si l’on considère l’homme du point de vue Anthroposophique, c’est un mot qui symbolise une évolution d’un être qu’à voulu constamment repousser la mort. Au départ, la particule humaine se trouvait dans une matière, qui lui permit de faire une expérience toujours plus grande, (pierre, puis végétal puis animal, aujourd’hui l’ego de l’homme se trouve dans un corps fait de ces trois matières) mais ces trois matières, il les a poussé jusqu’à leur maxi, 90 ans au plus, et la matière que l’homme utilise, ne peux plus lui servir pour expérimenter la vie. Le robot, lui, va pouvoir expérimenter bien plus que 90 ans, et même au delà de notre surface terrestre. La particule Humaine que nous représentons, va peu à peu s’installer dans ce que nous appelons aujourd’hui l’intelligence artificielle. La race humaine comme nous la voyons aujourd’hui, s’éteindra progressivement, pour laisser place à un corps plus autonome, plus puissant, dans le temps et dans l’espace, la transition, s’opère dans la philosophie, c’est à dire sur la façon, la perception, l’angle de ce que nous appelons Homme aujourd’hui…
Cette piste est véritable, mais il en existe d’autres. La particule de la pensée Humaine, en constante demande de connaissance, de savoir et d’amour, est infini comme dit plus haut. Elle peut donc très bien, dans le temps, et à terme, se conscientiser davantage, et ne plus avoir besoin de corps, de n’importe quelle matière qu’il soit pour se mouvoir dans le temps et l’espace. Le moi-je conscient de son propre état est capable d’allez n’importe où, n’importe comment. A mon avis, le but ultime de l’existence de ce que nous sommes.